La vie dans un passé flou...

Car sans raison de vivre, on est rien...

Me voilà, du haut de mes 18 ans, sans un souvenir de mon passé, ai-je réellement 16 ans? J'en sais rien, on me nomme Ritsuka, nom un peu éféminé, mais je m'en fiche, j'assume... Même si celà est douloureux, je suis libre, enfin, en partit... Je suis Ritsuka, mais je préfère qu'on m'appel Loveless, je suis celui que Sobî à choisit, il me pourrit la vie... Mais que faire contre lui? Il est dans ma tête, dans mon corps, j'ai plus la force de vivre, par moment je vouderais qu'il contôle mon corps défénitivement, mais je suis démoralisé, pourquoi? J'en sais rien, je veux vivre sans vivre, je suis zarbe je sais...

Ses mots restèrent gravés sur ce petit cahier noir, alors que des mains agiles le refermés, des mains d'un jeune chinois, au très fin, à l'air rêveur, après tout, il l'était... Son regard se perdit sur l'horizon, son souffle resta calme, le doute l'envahissant... Pourquoi doutait-il? Il ne savait plus la sensation qu'on avait qu'en on embrasser, il ne savait plus rien sauf vivre, écrire, lire, parler, marcher, en gros l'essentiel. Mais tout le reste, que ce soit le vélo ou autre, il ne s'en souvenait pas, il ne savait même plus ce que c'était d'aimer... Il était détruit depuis cet accident, mais quel accident? Il ne s'en souvenait plus, c'était dans ses souvenirs flous, dans son passé qui restait trouble. Disons qu'il était l'ombre de lui même... Bref, oublions. Derrière ce visage angélique se cachait un homme solitaire, pouvant s'averrer extremment violent. Il partit dans ses rêveries, ses pensées...

* Et si je me faisais un percing sur la lèvre?*

Voilà ses pensées, elles tournaient autour de celà, c'est fort interessant n'est-ce pas? Mais bon, la vie crée des andouilles comme lui. Mais des andouilles beaux, bien qu'elle en crée des laids... Mais là n'est pas la question. Un petit écureuil vient le froller, le faisant frissoner de surprise et de peur. Oui de peur provoqué par la surprise... Mais bon. Il ouvrit ses yeux bleutés les posant sur le petit être qui s'enfuiait effrayé par le mouvement brusque qu'avait eut l'humain. Ritsuka, car oui c'est ainsi qu'il se nomme, posa son regard silencieux sur son cahier, l'ouvrant délicatement comme si il tenait la clée de ses souvenirs, il attrapa son stylo entre ses doigts minces et se remit à écrire, laissant son esprit voguait et écrire ce qu'il lui passait par la tête.

Oui, me revoilà, je suis dans un endroit inconnu, où des jeunes pratiquent un sport sur une planche m'intenue par deux ronds, bizarre... Ils ont l'air de s'amuser, j'ai envie d'essayer, mais en même temps, je ne sais pas comment ils vont réagir quand je leur parlerais, alors je reste là, les surveillants, analysant... Par moment, je me dis que je suis une erreur de la nature, je ne sais rien faire, non rien... Incapable... Voilà le mot qui me convient: Incapable ou erreur de la nature. Je sers à rien...

Un cri attira son attention, un rire près de son oreille, il leva la tête, aperçevant les jeunes hommes qui faisaient du skate près de lui, ils avaient lus ce qu'il avait marquer... Ritsuka se renfrogna dans sa solitude, alors que les autres se moquaient de lui, il fit mine de ne pas les avoir vus, mais les insultes qui fusaient lui faisaient mal, même si certaines lui étaient totalement inconnu... Ils s'éloignèrent, plier en deux par la révélation du cahier, alors que celui-ci se refermaient. Le jeune japonais regarda le sol d'un regard vide, sans expression...

[Puis-je ou tu préfére quelqu'un d'autre?]

[Tu peux ^^]

Alana ne saurait jamais dire comment elle était arrivait ici, le chagrin qui la ronge ne lui permettait pas de savoir ou elle allait. Perdu dans ses pensées, elle ne voyait pas le temps passé... Elle s'était poser au pied d'un saule pleureur, un triste arbre qui montre ses malheurs, elle était bien comme lui, sur son visage on pouvais voir la tristesse, un regard gris sur le moment, sans vie aurait put ton dire plus exactement. A l'ombre de se saule, le soleil ne passait gère, elle ne pouvais être voir de qui voulait bien prêté l'attention. Elle caressa des doigts une marguerite, qui traîner la, alors qu'un massif était quelques mètres plus loin.

Je ne suis plus la seul à être éloigner des gens, à me sentir seule. Pourtant Nanny m'avait dit de me confondre avec les gens. Comment veut tu le faire, alors que les autres de juge pour se que tu n'es pas. Tout sa s'est la faute de maman.

Elle repensa à sa mère, qui ne l'avait jamais prise comme une fille, qui ne l'avait jamais choyer ni aimait. Elle l'avait souvent appelait "l'erreur", "la faute" et pleins d'autres surnom à briser une enfance, un coeur, un vie.... Pourquoi avait il fallu qu'elle naisse se jour la, avec cette mère la. Tout les autres paraissaient heureux de qui il s'était, de se qu'il fessait... Un bien triste monde, pour elle. Elle cueillit la marguerite, et ne prêta plus attention à se qui se passait au tour. Elle entendait seulement le bruits des skates et des rollers, tant elle était concentrée...

Maman... Si seulement je t'avais connu, peut-être que j'aurais été différent, que j'aurais été libre de mes pensées, de mes mouvements, à a place, il faut que je me méfie de cet être qui sommeil en moi. A moins que c'est moi qui l'invente, j'en sais rien, j'pense pas à ça. Des jeunes, sûrement âgé de 16 ans, se sont moqués de moi, la vie est si dûre, par moment, je me dis qu'il faudrait que je meurs et la vie serait plus belle... Maman... Sa sonne faux, t'hesite pas, j'écris dans un petit cahier noir, je dessine celon mon envie, mais tout ça, je le fais surtout pour oublier les rires...

Il voulait seulement vivre, avoir une dernière chance, la chance de tuer cet être en lui, à la place, il devait supporter les moqueries, il était comme une sorte de jouet pour des enfants... Il était un spécimen spécial, il était unique, non il en avait des autres comme lui mais passons. Il se leva après avoir écrit ces phrases, un saule pleureur plus, voilà ce qu'il lui fallait, se réfugier sous ses branches, et laisser son esprit voguer. A petit pas il s'y approcha, d'un geste de main il écarta les feuilles, ses yeux argentés apercevant ainsi une jeune femme, il ne dit mot, avant de regarder ailleur, l'ignorant, alors que des frissons parcouraient son dos.

* Pourquoi faut-il qu'il y est toujours des gens là où que j'ailles?*

Une question au quel personne ne répondit, il avait l'habitude, il était bête, il était con, il était jeune, mais bordel, c'était un de ses beaux goss... Il alla de l'autre côté du saule pleureur, s'assayant et rassemblant ses jambes contre son poitrail, son petit cahier noir dans l'herbe, des fourmis l'escaladant avec leurs petites pattes. Un sourire triste se dessina sur ses lèvres, un sourire qui disparût immédiatement...

[Flemme de faire plus -_-]

Alana murmurait des choses incompréhensibles, des choses que les gens ignorés. Elle était dans ses pensés, se demandé pourquoi se monde avait était comme sa avec elle. En générale, quand une personne était dans le mêmes cas qu’elle, il subissait tous les jours des moqueries, des insultes, des blessures, de coups… Des choses que personnes ne voulaient, que personnes ne souhaites, que voulaient subirent… Alana sortit son calepin de partitions, et commença à écrire une nouvelles musique, entra dans un autre monde, qui ne serait jamais le sien, sûrement, elle écrivait ses idées, mais en plus ses doutes, ses comme sa qu’en générale s’est musique prenait vie et forme. Devant, elle une forme se dessina, s’était un jeune homme asiatique devant elle, il avait un visage magnifique, des traits spéciaux. Mais vu son regard, il aurait préfère qu’Alana ne soit pas la, ou n’existe pas.

*C’est toujours comme sa quand on me voit ?*

Une question qu’elle se posait des nombreuses de fois. Ayant marre qu’on la traite plus pas que terres, ou que l’on dise des choses d’elle, qui était pour la plus part du tant fausse. Comme l’avait fait Gaël, son premier petit copain. Il était sortit avec elle, pour prouver à tout les lycéens de son ancien établissement qu’elle ne valait rien et qu’elle était comme sa mère. Du genre des filles faciles et qu’il ne fallait pas lui parler, ni même l’approchait. Elle regarda le jeune homme passait devant elle, s’en un sourire ni un regard, comme si elle n’existé pas. Il se posa de l’autre côte de l’arbre. Timidement elle le salua et lui demanda, avec une voie très calme et base. Espèrent qu'il ne l'envoyé pas bouler.

-Tu veux être seul ? Je peux partir si tu le souhaite.